High-Tech

Disque de platine

Dans un monde qui tourne en rond, le retour des vinyles fait tourner les têtes. Tel un phénix de l’industrie musicale, la galette noire renaît de ses cendres.

Apparu au tout début du XXe siècle avec le disque 78 tours, utilisé sur les gramophones puis dans les jukeboxes, il est vite remplacé par les 45 ou 33 tours habituels. Adulé pendant plus de 40 ans, négligé avec l’arrivée, en 1983, des CD, pour un retour en grâce depuis les années 2000. À tel point que, pour la première fois depuis 34 ans, les ventes de vinyles en 2020 ont surpassé celles des CD. Un engouement lié à son indéniable charme en tant qu’objet d’antan, faisant la joie de tous les collectionneurs sillonnant les brocantes à la recherche de perles rares, mais aussi pour les audiophiles qui l’apprécient pour ses qualités intrinsèques : tant pour son si caractéristique son que pour le design de la pochette, que les anglo-saxons nomment à juste titre ” artwork “, car elle est autant une œuvre d’art à elle seule qu’un rangement. L’intérêt du bon vieux microsillon face au petit CD saute aux yeux. Les pages fleurissent sur Instagram, du débutant de la platine cherchant à s’instruire sur cet univers au féru de la galette noire partageant sa passion et sa collection. Pour découvrir de nouveaux artistes ou en redécouvrir certains, pour vous aider dans cette quête du graal musical, des pages comme celles du LeVinyle&us, @levinylenus, sont un incontournable. Vinyles des quatres coins du monde, écoute de l’extrait, nom de l’artiste et du morceau ainsi que du label pour faciliter la recherche et l’achat de vos coups de cœur.
Dans ce monde qui file à 100 à l’heure, habitués à faire de multiples choses en simultanée, l’écoute d’un disque impose le décrochage. Un instant de concentration, tout à la musique que le vinyle matérialise dans une esthétique toute particulière. Le vinyle nous apprend à savourer l’instant, le temps d’un moment, et pleinement apprécier la musique. Et comme le disait si bien Shakespeare : « La musique est l’aliment de l’amour ».

Artus Transrotor : il fait tourner la tête
Le tourne-disque le plus cher du monde : cette pièce d’exception s’élève à 118 000 dollars.

Reboot Siddharth Vanchinathan : Minimaliste
Le plus sobre des tourne-disques : épuré, simple, tout de blanc vêtu. Il saura sublimer n’importe quel intérieur.

Unison MK II Da Vinci Audio Labs : haute-fidélité
Plus qu’un tourne-disque, un véritable bijou en la matière. Son esthétisme s’allie à la qualité irréprochable suisse qui ne laissera aucun audiophile indifférent.

Runwell Shinola : Musique classique
La construction élégante de la platine Runwell présente tous les classiques qui font un accessoire de maison éternel : aluminium, chêne blanc et cuir naturel. Son apparence simple mais polie s’adapte à presque tous les styles de décorations.

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