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Calendrier premium 2021 : Femmes cultes

Décembre, c'est le mois où l'on dévoile notre traditionnel calendrier. Cette année, c'est le célèbre photographe de mode MOJA qui nous offre, au fil des mois, un hommage aux femmes qui ont marqué les grands moments du 7ème art : " Quand les femmes font leur cinéma ".
…elles se font câlines et enlacent l’oreiller blanc comme le corps tant aimé d’un amour invisible. (Marilyn Monroe)
…elles se font langoureuses, allongées au milieu des coussins comme entre les brindilles d’un nid protecteur mais bien ancré dans la réalité. “Breakfast at Tiffany’s“ by Blake Edwards, 1961.
…elles se font glamoureuses – sensuelles et amoureuses – pour retrouver bientôt celui ou celle qui a su les émouvoir. “Der Blaue Engel” by Josef Von Sternberg, 1930.
…elles se font passion, pour vivre et mourir dans toute la force de leurs convictions, de leurs sentiments et de leurs émotions. “In the mood for love” by Wong Kar-wai, 2000.
…elles se font zéphyr, aériennes comme un vent léger qui viendrait caresser gentiment la surface de toutes choses. “Mulan” by Disney, 1998.
…elles se font fugueuses, amazones chevauchant le cheval de hasard d’une rencontre d’un soir. “Roman Holiday” by William Wyler, 1953.
…elles se font claires-obscures, soumises au crépuscule qui envahit leur couche d’une lueur zébrée. “Lolita” by Stanley Kubrick, 1962.
…elles se font diablesses, prêtes à tout pour défendre leurs libertés de femmes contre toutes sortes d’ennemis. “Barbarella” by Roger Vadim, 1968.
…elles se font sirènes, créatures du dieu Neptune, déesses de la mer à elles inféodée. “The Little Mermaid” by Disney, 1989.
…elles se font vertiges et gravissent des sommets, toujours plus déterminées à occuper dans l’univers la place qu’elles méritent. “Vertigo” by Alfred Hitchcock, 1958.
…elles se font solitude, terrassées un instant mais pour finalement mieux retrouver toutes leurs forces de femmes. “La mariée était en noir” by François Truffaut, 1968.
…elles se font puissantes, femmes d’affaires siégeant fièrement au conseil d’administration d’un monde soumis à leur volonté. “Anna di Brooklyn” by Vittorio De Sica, 1958.
…elles se font frondeuses et dévalent glorieusement l’escalier de leur vie, pressées qu’elles sont de vivre l’avenir. “Manpower” by Raoul Walsh, 1941.

MOJA, basé au Luxembourg, est un photographe de mode atypique dont l’atout principal est d’avoir réuni autour de lui un aéropage d’artistes, formant une équipe capable de traiter tous les aspects d’un événement mode : relation avec les fashion designers et les magazines internationaux, organisation de l’événement, direction artistique, choix des prises de vues, création de textes, conception des décors, maquillage… et, cerise sur le gâteau, shooting dans des lieux uniques, parfois improbables.
Mais MOJA ne se contente pas d’offrir toutes les compétences nécessaires à la réussite d’un projet, valorisant les talents et savoir-faire que l’humanité a développés dans tous les corps de métiers liés à la mode, mais aussi dans le monde du cinéma, trouvant son inspiration dans l’histoire du septième art pour mettre ses photographies en scène.
Profitant de toutes les occasions, MOJA souhaite aussi placer l’humanité au centre de son travail et s’engage, autant que faire se peut, pour des causes qui soient dignes de cet enjeu, un peu comme un whistleblower soucieux d’alerter sur des questions touchant le bien commun, de la disparition programmée des Pygmées Baka au destin tragique des enfants soldats.
Ainsi a-t-il à cœur de soutenir des causes qui lui importent, la place des femmes dans la société n’étant pas la moindre. Pour PREMIUM, MOJA s’intéresse au fil des mois aux personnages féminins qui ont marqué l’histoire du cinéma et rappelle, car il le faut encore, l’importance cruciale des femmes dans le monde.
Ici, l’expression consacrée « joindre l’utile à l’agréable » prend tout son sens : utiliser – rendre utile – ce que l’homme fait de mieux pour se mettre au service de l’humanité. Ou, selon la définition du dictionnaire, faire œuvre utile : « dont l’activité est ou peut être avantageusement mise au service d’autrui ».
Un monde, une humanité.

Remerciements

Fashion Designers : Danilo Forestieri, Huiqin Peng, Rose Palhares,
Fraise Au Loup, Anne Deprez

Models : Inès Prieto, Desirée Selmanovic, Sun Zibar, Lola Alcaluzac,
Evelyne Van Eetvelde, Valeryia Hulidzina, Mo Li, Mara Lafontan

www.moja.photo

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